La problématique du Genre a connu une accélération en République du Congo Brazzaville avec l’adoption de la Politique Nationale du Genre en 2009.
Cet engagement s’est concrétisé en 2010, lorsque le ministère de la promotion de la Femme et de l’Intégration de la Femme au Développement, appuyé par des organisations non gouvernementales œuvrant dans ce domaine, avait soumis au parlement congolais un avant-projet de loi sur la représentation des femmes aux fonctions politiques électives et administratives. Conscients des avantages multiformes suscités par une telle initiative, les parlementaires Congolais en ont fait une loi de la République, la même année.
C’est ainsi qu’au Congo, la question du genre s’invite désormais à tous les niveaux d’organisation sociale du pays. Car le développement du Congo ne saurait être envisagé sans l’implication effective des femmes à tous les échelons de la société.
C’est ainsi qu’au Congo, la question du genre s’invite désormais à tous les niveaux d’organisation sociale du pays. Car le développement du Congo ne saurait être envisagé sans l’implication effective des femmes à tous les échelons de la société.
Mais qu’en est-il de la place et du rôle de la Femme au sein de la SNPC ?
Depuis sa création, la SNPC a toujours donné une place de choix à la femme dans les postes de responsabilité. Car l’égalité est un droit fondamental de la personne humaine. En se conformant aux conventions internationales que le Congo a ratifiées en matière de droit de la femme, elles sont, au sein de la SNPC, représentées dans les sphères de décision administrative et dans les postes d’expertise liés aux métiers pétroliers ainsi que dans les métiers connexes.
En 2003, la SNPC comptait trois 3 femmes directrices dans des secteurs comme la gestion, la trésorerie et l’audit. Et cette tendance est appelée à s’accroître, parce qu’elle s’appuie sur une politique de formation continue mise en place par la direction générale qui veille à la matérialisation du concept de l’égalité de chance pour tous.
Il va sans dire qu’en agissant ainsi, la SNPC accompagne valablement les efforts du gouvernement congolais dans la promotion de l’équité entre les hommes et les femmes, d‘une part ; et dans l’encouragement des femmes à jouer un rôle prépondérant à tous les niveaux hiérarchiques de l’entreprise, d’autre part. A titre d’exemples, en 2013, les femmes représentent 36,7% des effectifs de la SNPC, sur un effectif de 259 agents toutes catégories confondues. Les cadres simples représentent 24,5% des femmes sur l’ensemble de l’effectif des agents de la SNPC. Les agents de maîtrise représentent 62,8% des femmes, un pourcentage largement supérieur aux hommes qui sont à 37,2%. Les femmes sont de l’ordre de 25,9% parmi les agents d’exécution.
En 2003, la SNPC comptait trois 3 femmes directrices dans des secteurs comme la gestion, la trésorerie et l’audit. Et cette tendance est appelée à s’accroître, parce qu’elle s’appuie sur une politique de formation continue mise en place par la direction générale qui veille à la matérialisation du concept de l’égalité de chance pour tous.
Il va sans dire qu’en agissant ainsi, la SNPC accompagne valablement les efforts du gouvernement congolais dans la promotion de l’équité entre les hommes et les femmes, d‘une part ; et dans l’encouragement des femmes à jouer un rôle prépondérant à tous les niveaux hiérarchiques de l’entreprise, d’autre part. A titre d’exemples, en 2013, les femmes représentent 36,7% des effectifs de la SNPC, sur un effectif de 259 agents toutes catégories confondues. Les cadres simples représentent 24,5% des femmes sur l’ensemble de l’effectif des agents de la SNPC. Les agents de maîtrise représentent 62,8% des femmes, un pourcentage largement supérieur aux hommes qui sont à 37,2%. Les femmes sont de l’ordre de 25,9% parmi les agents d’exécution.