C’est dans le cadre de sa première année à la tête de cette société pétrolière que le directeur général de la Société Nationale des Pétroles du Congo, Maixent Raoul Ominga s’est adressé, le 5 mars 2019, aux cadres et agents sous tutelle.
La salle de conférence du siège de la SNPC, la société nationale des pétroles du Congo, à Brazzaville, a servi de cadre à cette rencontre qui marque dans l’histoire de cette entreprise, l’ère de la communion entre la direction de la société et l’ensemble de son personnel.
A l’ouverture de cette rencontre, le directeur général de la Société Nationale des Pétroles du Congo, Maixent Raoul Ominga, a rappelé à l’ensemble du personnel que ce rendez-vous, est non seulement un moment de dresser un bilan de parcours, mais aussi et surtout un moment de réflexion sur l’entreprise. Réflexion centrée autour des priorités contenues dans la feuille de route fixée à sa prise de fonctions voici un an jour pour jour. Une feuille de route portant notamment sur quatre principaux axes a-t-il précisé à savoir :
Quand il prend les commandes de la snpc, dans un contexte de crise accentuée par la chute du prix du baril du pétrole sur le marché international, Maixent Raoul Ominga, investi de la confiance des hautes autorités nationales, n‘a pas eu d’autres alternatives que de faire des résultats en dépit de la conjoncture. Des résultats qui se traduisent aujourd’hui des faits éloquents marqués par l’élaboration du nouvel organigramme de la société, les différents textes et documents qui fixent le cadre de travail, et surtout l’élaboration du document stratégique de cette entreprise intégrant le programme quadriennal d’investissements 2018-2021.
Une moisson à mettre à l’actif de toutes les fortes têtes de l’entreprise, et qui a abouti a-t-il indiqué à la tenue du conseil d’administration inaugural du groupe SNPC tenu le 31 juillet 2018 à Brazzaville. Conseil d’administration au cours duquel ont été adoptés les documents fondamentaux qui définissent la politique de la société nationale des pétroles du Congo pour les prochaines années. Ces jalons posés confèrent aujourd’hui à la société un avenir prometteur a reconnu en substance le directeur général. Et le cap 2021, constitue la trame de fonds pour atteindre les objectifs que s’est assigné l’entreprise. Pour y parvenir, il sait compter avec l’activisme de l’ensemble des personnels du Groupe. Dans le registre de performances à réaliser en ce qui concerne l’activité pétrolière en amont, le groupe snpc table sur une production minimale de 30 000 (trente mille) barils par jour. Ce, grâce au développement du permis d’exploitation MKB II pour lequel, « l’étude de revalorisation du potentiel d’hydrocarbures confiée à un partenaire s’annonce concluante dans les semaines qui suivent avec des résultats encourageants. Ce qui par ailleurs va aboutir à un nouveau plan de développement avec la relance imminente des activités opérationnelles sur Kundji avec un potentiel de 2 à 5 puits », a rassuré le directeur général. Parmi ces premiers jalons prometteurs, existe aussi en bonne place, la mise en exploitation du permis Mayombe.
Au niveau des actifs non opérés, les indicateurs pour intensifier la production de la snpc fixent la barre au-delà de 56.000 barils par jour. Ici, l’atteinte des résultats escomptés passe par un certain nombre d’actions parmi lesquelles : la rentabilité de l’amélioration des dits actifs, l’operating des permis bientôt en fin d’exploitation. A mettre également à l’actif des opportunités qui s’offrent à la snpc, l’expertise en la matière. C’est dans ce volet que se situent le permis Ngoki sur lequel, la snpc apporte assistance à l’opérateur pour le forage d’un puits courant 2019 et le permis Tilapia qui dispose d’un puits d’appréciation avec des résultats en cours d’expérimentation encourageants. La snpc fonde aussi ses espoirs sur le contrat de partage de production signé récemment avec la société Kosmos Energy sur le permis de recherche Marine XXI en eau très profonde par 3.000 mètres d’eau.
Dans le secteur de l’aval pétrolier, au-delà des missions de commercialisation du brut de l’Etat et de la snpc dont le succès s’est traduit avec l’enlèvement de 31( trente une cargaisons) de l’Etat et 2 (deux) pour la snpc, la grande synergie dans ce domaine passe parmi entre autres par le renforcement du rôle central de la Coraf, la congolaise de raffinage des produits pétroliers. Un renforcement de rôle avec l’adoption bientôt d’un nouvel organigramme pour cette usine. L’objectif étant, de mettre fin aux pénuries, améliorer le transport et le stockage des produits pétroliers finis. Même si dans ce cadre, la société a enregistré quelques soucis pour des raisons externes à son fonctionnement normal. Pour prévenir les cas de grande délinquance sur les produits pétroliers, la snpc entend relancer le projet construction d’un pipeline Pointe noire / Yié/ Maloukou. De même pour ce qui concerne la distribution du gaz domestique avec la construction d’une infrastructure de stockage, de conditionnement et de distribution des GPL. A ce jour, les bouteilles ont été réceptionnées et l’activité est en voie de démarrer sous peu.
En 2018, les finances de la snpc ont accusé une bonne santé même si beaucoup reste encore à faire dans ce domaine à entendre le directeur général. La snpc a versé au titre de l’exercice 2017, les dividendes de l’Etat et entend le faire dans un délai proche pour l’exercice 2018. La question des ressources humaines n’a pas été occultée. A cet effet, un ambitieux plan de formation du personnel a été mis en place pour l’atteinte des performances. Fort de son expérience dans le secteur du pétrole, le directeur général de la SNPC a appelé l’ensemble du personnel à la cohésion afin de tracer avec lui la route du développement de cette entreprise stratégique pour le Congo. Le tout bien entendu dans un engagement patriotique.
Arrivée à la tête de la SNPC, le 5 mars 2018 et Fort d’une riche expérience dans le secteur du pétrole, Monsieur Maixent Raoul Ominga a su tracer sa route avec un engagement patriotique dont on peut apprécier les avancées.
A l’ouverture de cette rencontre, le directeur général de la Société Nationale des Pétroles du Congo, Maixent Raoul Ominga, a rappelé à l’ensemble du personnel que ce rendez-vous, est non seulement un moment de dresser un bilan de parcours, mais aussi et surtout un moment de réflexion sur l’entreprise. Réflexion centrée autour des priorités contenues dans la feuille de route fixée à sa prise de fonctions voici un an jour pour jour. Une feuille de route portant notamment sur quatre principaux axes a-t-il précisé à savoir :
- l’Amélioration de l’action de la snpc dans le domaine de l’exploration et la production ;
- Rendre meilleures les conditions d’approvisionnement du pays en produits pétroliers ;
- Améliorer les performances de la société pour booster le budget de l’État ;
- Et enfin renforcer les capacités de l’ensemble des personnels constituant le groupe SNPC.
Quand il prend les commandes de la snpc, dans un contexte de crise accentuée par la chute du prix du baril du pétrole sur le marché international, Maixent Raoul Ominga, investi de la confiance des hautes autorités nationales, n‘a pas eu d’autres alternatives que de faire des résultats en dépit de la conjoncture. Des résultats qui se traduisent aujourd’hui des faits éloquents marqués par l’élaboration du nouvel organigramme de la société, les différents textes et documents qui fixent le cadre de travail, et surtout l’élaboration du document stratégique de cette entreprise intégrant le programme quadriennal d’investissements 2018-2021.
Une moisson à mettre à l’actif de toutes les fortes têtes de l’entreprise, et qui a abouti a-t-il indiqué à la tenue du conseil d’administration inaugural du groupe SNPC tenu le 31 juillet 2018 à Brazzaville. Conseil d’administration au cours duquel ont été adoptés les documents fondamentaux qui définissent la politique de la société nationale des pétroles du Congo pour les prochaines années. Ces jalons posés confèrent aujourd’hui à la société un avenir prometteur a reconnu en substance le directeur général. Et le cap 2021, constitue la trame de fonds pour atteindre les objectifs que s’est assigné l’entreprise. Pour y parvenir, il sait compter avec l’activisme de l’ensemble des personnels du Groupe. Dans le registre de performances à réaliser en ce qui concerne l’activité pétrolière en amont, le groupe snpc table sur une production minimale de 30 000 (trente mille) barils par jour. Ce, grâce au développement du permis d’exploitation MKB II pour lequel, « l’étude de revalorisation du potentiel d’hydrocarbures confiée à un partenaire s’annonce concluante dans les semaines qui suivent avec des résultats encourageants. Ce qui par ailleurs va aboutir à un nouveau plan de développement avec la relance imminente des activités opérationnelles sur Kundji avec un potentiel de 2 à 5 puits », a rassuré le directeur général. Parmi ces premiers jalons prometteurs, existe aussi en bonne place, la mise en exploitation du permis Mayombe.
Au niveau des actifs non opérés, les indicateurs pour intensifier la production de la snpc fixent la barre au-delà de 56.000 barils par jour. Ici, l’atteinte des résultats escomptés passe par un certain nombre d’actions parmi lesquelles : la rentabilité de l’amélioration des dits actifs, l’operating des permis bientôt en fin d’exploitation. A mettre également à l’actif des opportunités qui s’offrent à la snpc, l’expertise en la matière. C’est dans ce volet que se situent le permis Ngoki sur lequel, la snpc apporte assistance à l’opérateur pour le forage d’un puits courant 2019 et le permis Tilapia qui dispose d’un puits d’appréciation avec des résultats en cours d’expérimentation encourageants. La snpc fonde aussi ses espoirs sur le contrat de partage de production signé récemment avec la société Kosmos Energy sur le permis de recherche Marine XXI en eau très profonde par 3.000 mètres d’eau.
Dans le secteur de l’aval pétrolier, au-delà des missions de commercialisation du brut de l’Etat et de la snpc dont le succès s’est traduit avec l’enlèvement de 31( trente une cargaisons) de l’Etat et 2 (deux) pour la snpc, la grande synergie dans ce domaine passe parmi entre autres par le renforcement du rôle central de la Coraf, la congolaise de raffinage des produits pétroliers. Un renforcement de rôle avec l’adoption bientôt d’un nouvel organigramme pour cette usine. L’objectif étant, de mettre fin aux pénuries, améliorer le transport et le stockage des produits pétroliers finis. Même si dans ce cadre, la société a enregistré quelques soucis pour des raisons externes à son fonctionnement normal. Pour prévenir les cas de grande délinquance sur les produits pétroliers, la snpc entend relancer le projet construction d’un pipeline Pointe noire / Yié/ Maloukou. De même pour ce qui concerne la distribution du gaz domestique avec la construction d’une infrastructure de stockage, de conditionnement et de distribution des GPL. A ce jour, les bouteilles ont été réceptionnées et l’activité est en voie de démarrer sous peu.
En 2018, les finances de la snpc ont accusé une bonne santé même si beaucoup reste encore à faire dans ce domaine à entendre le directeur général. La snpc a versé au titre de l’exercice 2017, les dividendes de l’Etat et entend le faire dans un délai proche pour l’exercice 2018. La question des ressources humaines n’a pas été occultée. A cet effet, un ambitieux plan de formation du personnel a été mis en place pour l’atteinte des performances. Fort de son expérience dans le secteur du pétrole, le directeur général de la SNPC a appelé l’ensemble du personnel à la cohésion afin de tracer avec lui la route du développement de cette entreprise stratégique pour le Congo. Le tout bien entendu dans un engagement patriotique.
Arrivée à la tête de la SNPC, le 5 mars 2018 et Fort d’une riche expérience dans le secteur du pétrole, Monsieur Maixent Raoul Ominga a su tracer sa route avec un engagement patriotique dont on peut apprécier les avancées.